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Colloque
Le 8 décembre 2017
Grenoble - Centre ville
Sous la direction scientifique de Jean-Michel Bruguière
Les instruments du droit objectif sont l’expression d’une pluralité de forces créatrices.
Le processus de création du droit est, en effet, aujourd’hui le fruit d’une coproduction, d’un dialogue entre le législateur, le juge, les praticiens, la doctrine, administrative ou savante.
L’intégration des standards dans la règle de droit élaboré par le législateur participe parfaitement de ce processus de coproduction.
Comme cela a été souligné, « en tant que tel, le standard n’est qu’un mot de la loi, une simple empreinte légale qu’il appartient au juge de doter d’une charge normative» en s’appuyant sur les conclusions des praticiens, les propositions des professeurs, les rapports des experts...
Le droit de la propriété intellectuelle n’ échappe pas à cette évolution.
La propriété littéraire et artistique définit la communication publique au travers de la notion de « cercle de famille », tolère des « courtes citations» d’ œuvres et contient la parodie, dans les limites des «lois du genre».
De son côté la propriété industrielle, fait appel à «l’homme du métier», dans le droit des brevets, à « l’utilisateur averti» dans le droit des dessins et modèles ou au « consommateur d’attention moyenne» dans le droit des marques.
Le colloque du CUERPI- CRJ a précisément pour thème cette année ces standards du droit de la propriété intellectuelle. Après avoir défini la notion de standards dans le droit privé et montré que le recours à cet outil ne se limite pas au droit de la propriété intellectuelle continental, le colloque se propose d’envisager, d’une part, la réception du phénomène dans le droit positif et, d’autre part, son utilisation par les praticiens (magistrats, avocats, experts)
Le processus de création du droit est, en effet, aujourd’hui le fruit d’une coproduction, d’un dialogue entre le législateur, le juge, les praticiens, la doctrine, administrative ou savante.
L’intégration des standards dans la règle de droit élaboré par le législateur participe parfaitement de ce processus de coproduction.
Comme cela a été souligné, « en tant que tel, le standard n’est qu’un mot de la loi, une simple empreinte légale qu’il appartient au juge de doter d’une charge normative» en s’appuyant sur les conclusions des praticiens, les propositions des professeurs, les rapports des experts...
Le droit de la propriété intellectuelle n’ échappe pas à cette évolution.
La propriété littéraire et artistique définit la communication publique au travers de la notion de « cercle de famille », tolère des « courtes citations» d’ œuvres et contient la parodie, dans les limites des «lois du genre».
De son côté la propriété industrielle, fait appel à «l’homme du métier», dans le droit des brevets, à « l’utilisateur averti» dans le droit des dessins et modèles ou au « consommateur d’attention moyenne» dans le droit des marques.
Le colloque du CUERPI- CRJ a précisément pour thème cette année ces standards du droit de la propriété intellectuelle. Après avoir défini la notion de standards dans le droit privé et montré que le recours à cet outil ne se limite pas au droit de la propriété intellectuelle continental, le colloque se propose d’envisager, d’une part, la réception du phénomène dans le droit positif et, d’autre part, son utilisation par les praticiens (magistrats, avocats, experts)
Date
Le 8 décembre 2017
Localisation
Grenoble - Centre ville
Complément lieu
Auditorium du Musée de Grenoble
5 place Lavalette
5 place Lavalette
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